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Généralités sur le bouturage |
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Saisons et récoltes |
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Bouturage des tiges |
Les Techniques pour bouturer
en images
Le bouturage des feuilles |
On coupe une feuille avec le pédoncule, puis on plante le pédoncule dans le substrat. C'est une méthode employée pour certains bégonias, le Saint-paulia ... |
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C'est un type de bouturage très rentable puisqu'on coupe la feuille en morceau. Il faut repérer les morceaux pour ne pas contrarier le sens de croissance de la plante. |
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Les nouvelles pousses, ou les éléments qui se sont détachés des cactus et plantes grasses sont mis au sec durant quelques jours, puis placés à la surface de sable ou d'un terreau sableux un peu humide, la base trés légérement recourverte. |
Le bouturage des racines |
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Cette technique est employée pour les plantes qui ont des racines assez épaisses. On coupe la racine en tronçons de cinq centimètres en repérant partie basse et haute de chaque tronçon, puis on plante verticalement en respectant ce sens (la partie de plus petit diamètre vers le bas) dans le substrat, on les laissant à peine dépasser. C'est une méthode employée entre autres pour l'acanthe ... |
Bouturage de plantes vivipares |
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Certaines plantes sont dites vivipares car elles forment de petites plantules qu'il suffit de placer en surface de sable ou terreau additionné de sable, légérement humide. |
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Hydroponique |
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Les boutures sont maintenues par des billes d'argile (on peut utiliser d'autres supports de culture neutres) dans des paniers de plantes d'aquarium. Le bac est un simple pot alimentaire de récupération. Trois engrais complémentaires apportant l'ensemble des éléments nutritifs nécessaires au développement des plantes sont dilués dans l'eau. Pour que les éléments nutritifs soient assimilables l'acidité de l'eau a été amenée à un ph convenable (ph 5.5/6.5), le ph peut se contrôler grâce à un petit kit de test pour aquarium. Cette solution d'engrais est mise en mouvement au moyen d'une pompe immergée d'aquarium, elle améne le mélange à des asperseurs rotatifs, des gicleurs ou des goutte à goutte qui arrosent les paniers de culture, puis le mélange retombe dans le bac, créant des bulles d'air qui oxygénent la solution. Ce système reste efficasse sans engrais, il a pour avantage de produire une eau brassée riche en oxygéne, propice à l'apparition de racines, il évite aussi les problèmes de pourriture liés à la stagnation de l'eau. |
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La fréquence des arrosages peut se régler facilement grâce à un programateur horaire. L'éclairage peut être naturel ou artificiel, dans ce cas des néons sont suffisants, et on peut régler le nombre d'heures d'illumination par jour (de 12 à 18 h) de la même façon que pour les arrosages. Entretien: Le mélange ou l'eau seront changés chaque semaine, et la cuve néttoyée, on vérifiera aussi le bon fonctionnement de la pompe régulièrement. Ce systéme peut se compléter d'une pompe à air et d'un bulleur pour aquarium. Il est adaptable à une plus grande échelle. Les boutiques internet ou du commerce traditionnel (growshop) proposent des systèmes simples ou modulaires prêts à l'emploi. |
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Micropropagation |
La micropropagation est employée par les laboratoires ou la production à la chaine d'orchidées.
Après désinfection de la plante on en préléve une partie sous atmosphère désinfectée: le méristème.
On découpe ce méristème en de nombreux fragments que l'on cultive sur un milieu de culture stérile.
Ces fragments donneront autant de nouvelles plantes.
Cette méthode a un avantage de taille puisque c'est la seule qui permette d'éliminer les maladies
virales des plantes.
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